Agir par le droit pour un monde juste et respectueux du vivant avec Intérêt à Agir
Partenaire
Intérêt à Agir
Durée du projet
3 ans
Nos besoins
Contexte / Problème à résoudre
Depuis quelques années des citoyens du monde entier se tournent vers les tribunaux pour obliger des gouvernements ou des entreprises à respecter ou à accélérer les mesures pour un développement durable et une justice sociale. Le nombre de poursuites judiciaires ne cesse de croître pour forcer un changement systémique et positif. Partout dans le monde, les procès climatiques ont mis progressivement la société civile sur le devant de la scène médiatique. Face à l’inaction fautive des États et à la puissance des défenseurs du statu quo, associations et citoyens sont, aujourd’hui plus que jamais, garants de la bonne application du droit. En revanche, si la société civile compte les meilleurs experts dans ses rangs, elle manque cruellement de moyens financiers pour assurer des actions d’ampleur visant à faire respecter le droit et à faire changer les comportements en faveur d’un monde plus juste.
Solutions proposées
Intérêt à Agir accompagne ces mouvements citoyens et avec eux, les causes d’intérêt général, dans l’arène judiciaire, afin d’accélérer la construction d’un monde juste, solidaire et respectueux du vivant :
- crée et soutient des actions juridictionnelles en faveur d’une agriculture sans pesticide et pour obtenir réparations des préjudices causés à l’environnement du fait de leur fabrication, de leur commercialisation ou de leur utilisation.
- renforce la défense des ressources indispensables à l’épanouissement de chacun et de chaque écosystème à travers la défense des biens communs, notamment de l’eau, par la mise en cause des phénomènes d’appropriation des biens communs.
- s’attache à faire progresser les causes sociétales, notamment d’inclusion des personnes précaires ou pour l’effectivité des droits des handicapés, grâce à la mise en demeure et sous astreinte de respecter les textes en vigueur.
- déploie encore son expertise sur le terrain des conséquences du changement climatique, notamment les migrations qui en découlent, insuffisamment prises en compte par les autorités publiques que ce soit sur le terrain de l’accueil des populations que celui du respect des obligations de sauvetage en mer.
Association partenaire
Collectif de juristes universitaires et praticiens crée en novembre 2020, l’association I'Intérêt à Agir renforce le pouvoir d’action juridictionnelle de la société civile incarnée par les associations d’intérêt général afin qu’elles utilisent le droit -levier stratégique - pour opérer les changements qu’appellent les défis de notre époque pour accélérer la construction d’un monde juste, solidaire et respectueux du vivant.
Sa mission : agir par le droit pour un monde solidaire et respectueux du vivant en fédérant des acteurs qualités por créer des argumentaires juridiques au service d’actions judiciaires stratégiques, pertinentes et audacieuses résultant du travail de commissions mixtes composées d’experts, de juristes et d’ONG qui permettront d’obtenir des jurisprudences favorables au plus haut niveau de juridiction.
Résultats / Bénéfices
- Identification des contentieux stratégiques grâce à la collaboration entre théoriciens et praticiens du droit, ainsi que les organisations de terrain
- Création d’un matériel solide et réutilisable pour mener une action en justice
- Aller au contentieux
- Provoquer l’acculturation à l’action en justice notamment parmi les ONG, qui étoffent leurs leviers d’actions, via la collaboration directe ou la communication externe
Pourquoi soutenir ce projet?
En renforçant le pouvoir d’action des associations d’intérêt général, ce projet permet de défendre des causes essentielles telles que la protection de l’environnement et la justice sociale. L’utilisation du droit comme levier stratégique est un outil puissant pour accélérer les transformations nécessaires face aux défis globaux. De plus, en fédérant des experts et des ONG, Intérêt à Agir favorise la création de jurisprudences innovantes et ambitieuses, garantissant ainsi une application plus rigoureuse des droits fondamentaux afin d’accélérer la construction d’un monde juste, solidaire et respectueux du vivant.

en 2030 à cause du changement climatique
